Martin C, à l’assaut de l’empire du milieu

Parti en juillet dernier en Chine pour une mission d’un an en relation commerciale, Martin C. ne parle pas un mot de mandarin. Pour l’instant, il s’en sort grâce à l’anglais qu’il maîtrise parfaitement ; preuve que dans certains cas, l’anglais suffit. Mais il a prévu de prendre des cours de mandarin sur place pour assurer sa mission à long terme.

« C’est la mondialisation actuelle qui m’a poussé à exercer mon métier dans ce pays. La Chine est devenu un pôle incontournable des échanges et c’est devenu très intéressant d’y travailler.
Je suis parti en pensant que l’anglais serait suffisant dans ce secteur où la plupart des communications se font en anglais. Mais ce qui m’a manqué en arrivant, c’était la connaissance de la culture chinoise. Je m’y suis familiarisé progressivement mais le contact a été un peu rude au début. »

Pour ouvrir toutes les portes

« J’ai également conscience que la maîtrise du mandarin m’ouvrirait d’ autres portes et me faciliterait les relations avec mes contacts locaux. Il est plus facile d’instaurer des relations de confiance et de respect avec des Chinois lorsque l’on parle leur langue.
C’est pour toutes ces raisons que je vais bientôt me mettre au mandarin. Je pense que ce sera plus facile aujourd’hui ; mon oreille s’est un peu familiarisée aux sonorités de cette langue. »